Session de printemps

27 février au 17 mars

Cette première session de l’année se termine sur un bilan plutôt mitigé. Nous avons de la peine à trouver les compromis nécessaires qui pourtant permettent de construire des solutions durables et d’avancer. Heureusement que nous avons réussi à le faire dans plusieurs projets même si j’aurais souhaité qu’ils soient plus nombreux. J’entends bien m’engager pour des solutions équilibrées. Au plaisir de lire vos commentaires sur mon retour de session, voire de vous entendre de vive voix si l’occasion nous est offerte.

Session extraordinaire

11-12 avril

Je regrette que le Conseil national n’ait pas accepté le compromis proposé par le Conseil des Etats. Paradoxalement c’est parce que la Délégation des finances (organe formé de 6 parlementaires représentant le Parlement et appelé à prendre des décisions au nom et pour le compte du Parlement en matière de crédits urgents) a dit oui le 19 mars déjà aux 109 milliards de garanties demandées par le Conseil fédéral qu’une majorité du Conseil national a pu dire non. Les parlementaires qui ont voté non savaient en effet que leur vote n’aurait pas de conséquences immédiates. Ils ont cependant pris le risque de décrédibiliser le Conseil fédéral sur le plan international, sans mentionner le Parlement incapable de faire face à la crise

Session d’été

30 mai au 16 juin

Si la plupart des dossiers de la session d’été ont une dimension nationale tels ceux de la crise du Crédit Suisse, de l’approvisionnement énergétique ou du pouvoir d’achat, certains ont un accent plus fribourgeois, comme, par exemple, la desserte des transports publics et le soutien à l’organisation des championnats du monde de hockey sur glace en 2026. Je me réjouis de partager avec vous les résultats de notre travail et de connaître votre avis.